Chers amis,

J’ai le plaisir de vous annoncer nos prochains concerts qui auront lieu jeudi 20 octobre (à 20h30) et dimanche 23 (à 17h) en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e.

Au programme, une seule œuvre, mais laquelle ! La splendide Symphonie n° 2 de Rachmaninov, la plus célèbre et la plus longue des trois écrites par le compositeur.

Après l'amère déception qu'éprouva Rachmaninov suite à l'accueil désastreux réservé à sa première symphonie en 1897, le compositeur reprit confiance en lui avec le succès phénoménal – et jamais démenti depuis – de son célébrissime Concerto pour piano n° 2 (1900-01) qui devait asseoir définitivement sa notoriété. Nommé chef d'orchestre au Grand Théâtre impérial de Moscou, il démissionna de ce poste en 1906, accablé par cette activité trop prenante. Voulant également fuir la situation politique tendue en Russie, il s'installa avec sa famille à Dresde où il composa notamment cette symphonie, achevée à l'automne 1907. La création eut lieu à Saint-Pétersbourg le 26 janvier 1908, sous la direction du compositeur. L'accueil fut triomphal et l'œuvre reçut le prestigieux Premier Prix Glinka (le Second Prix revenant au Poème de l'extase de Scriabine).

Assurément l'un des sommets de la musique russe, cette merveilleuse symphonie dut subir pendant longtemps des coupures arbitraires et injustifiées jusqu'à une époque récente. Nous allons la donner dans sa version intégrale, y compris avec la reprise – encore très souvent omise – indiquée dans le premier mouvement.

Nous espérons vivement vous retrouver à l’occasion de ces concerts.

Très cordialement,

Eric Van Lauwe

Chers amis,

Merci beaucoup de vos messages de sympathie et de soutien.

Le Covid qui a frappé quelques-uns d'entre nous est maintenant écarté, et nous donnerons finalement nos concerts :

- samedi 5 février à 20h30,

- dimanche 6 février à 17h,

C'est avec tristesse et regret que nous devons vous annoncer que nos concerts VIVALDI - WAGNER - R. STRAUSS du dimanche 16 et mardi 18 sont annulés. Plusieurs musiciens et moi-même sommes victimes de ce maudit virus, heureusement sans gravité apparente...

Après une période intensive de travail musical collectif plein d'enthousiasme, nous étions si heureux de présenter ces œuvres merveilleuses en concert, mais ce n'est que partie remise...

Portez-vous bien et à très vite, cordialement,

Eric Van Lauwe

Chers amis,

Tout d'abord, de la part de notre orchestre et de moi-même, nous vous souhaitons une très belle et heureuse nouvelle année.

Vous trouverez ci-joint l'affiche de nos prochains concerts qui auront lieu le dimanche 16 janvier à 17h et le mardi 18 à 20h30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e.

Pour cette occasion, notre programme se compose de 3 œuvres, de caractères et d'époques différentes :

Si Vivaldi a écrit plus 500 concertos pour divers instruments, il n'en composa que 3 pour violon, violoncelle et orchestre à cordes. C'est celui en si bémol majeur qu'interpréteront deux de nos fidèles musiciens : les frères Rémi et Arnaud Leroux.

C'est en guise de cadeau d'anniversaire surprise pour son épouse Cosima que Wagner composa cette “Siegfried-Idyll”. Le jour de Noël 1870, tôt le matin, un petit ensemble joua cette œuvre dans l'escalier de la superbe maison de Tribschen (près de Lucerne), au bord du lac des Quatre-Cantons, en Suisse.

Enfin, le programme s'achèvera au XXe siècle par les Métamorphoses – magistrale et bouleversante partition pour 23 cordes – que Richard Strauss composa début 1945, sous le coup de l'émotion de la destruction de “son” Allemagne.

Alors, nous espérons vivement votre présence à ces concerts !

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

 Chers amis,

Vous trouverez ci-joint l'affiche de nos prochains concerts qui auront lieu en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e, les vendredi 3 et dimanche 5 décembre, respectivement à 20h30 et 17h.

Le programme commencera par le poème symphonique Le Lac enchanté (datant de 1909) du compositeur russe Anatoli Liadov, étonnant par ses jeux sonores et ses harmonies troublantes et raffinées.

Puis, Nicolas Prost sera notre soliste pour ce Poème élégiaque de Philippe Gaubert, commandé en 1911 par la saxophoniste américaine (mais d'ascendance française) Elise Hall qui est à l'origine de nombreuses compositions pour son instrument (Debussy, Schmitt, d'Indy, Caplet, etc.). Si l'œuvre a été créée à Boston en 1912, elle est demeurée inédite jusqu'à très récemment, et n'a jamais été jouée en France dans sa version originale orchestrale.

Enfin, nous donnerons la brillante et épique Symphonie n° 5 d'Alexandre Glazounov datant de 1895, probablement le chef d'œuvre orchestral de ce compositeur qu'on a souvent tendance à taxer de conservatisme, car n'ayant pas suivi plus tard l'évolution moderniste d'un Stravinsky ou d'un Prokofiev. Il n'empêche que cette superbe symphonie, quasiment jamais jouée en concert, mériterait sa place à côté de celles de Tchaïkovsky ou de Rachmaninov.

Nous serons ravis de vous accueillir !

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Chers amis,

Nous espérons que vous avez passé un excellent été et que nous allons avoir le plaisir de vous retrouver.

Pour ces concerts de la rentrée (qui auront lieu dimanche 3 octobre à 17h et mardi 5 à 20h30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e), nous présenterons des œuvres de deux compositeurs allemands célèbres et de deux compositeurs britanniques quasi inconnus.

Si le superbe concerto de Mendelssohn Bartholdy (achevé en 1844) est une des pierres angulaires du répertoire pour violon, il n'en va pas de même pour cette belle œuvre pour piano que Schumann composa en 1849 pour sa femme Clara, et qui est demeurée dans l'ombre du célèbre concerto pour piano en la mineur.

Irlandais par son père, élève de Stanford, gravement blessé près d'Arras durant la Première Guerre mondiale, Moeran composa en 1931 Lonely waters, qu'il dédia à Vaughan Williams. Arnold Bax est un des grands symphonistes du XXe siècle, et cette ravissante pièce, Morning Song (Maytime in Sussex), a été composée en guise de cadeau d'anniversaire pour les 21 ans de la princesse Elizabeth, l'actuelle reine. De ces deux œuvres, émanent le charme et le raffinement typiques de la musique britannique de cette époque. Pour le morceau de Bax, il s'agira de la première audition en France. Pour celui de Moeran, probablement aussi, mais on ne peut l'affirmer avec certitude.

Nos solistes seront Irina Chagay et Alain Stepanian.

Evidemment, nous devrons nous soumettre aux directives gouvernementales, c'est-à-dire la présentation du pass sanitaire, et le respect des gestes barrières. Que cela ne vous empêche pas de venir nous écouter !

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Après une longue absence due aux restrictions, c'est avec une grande joie que nous pouvons de nouveau nous produire en public, dans le respect des recom-mandations sanitaires. Pour les deux concerts que nous allons donner le dimanche 6 juin à 17h, et le vendredi 11 à 20h30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e, notre orchestre aura le plaisir d'accueillir deux grands solistes : le clarinettiste Jean-Marc Fessard et le violoniste Haïk Davtian.

La première partie débutera par le Benedictus du compositeur écossais Alexander Mackenzie, œuvre courte et toute en recueillement datant de 1888, suivi de l'Adagio d'Heinrich Bärmann (le virtuose pour qui Weber composa notamment son concertino et ses deux concertos pour clarinette) et du merveilleux concerto pour clarinette du compositeur américain Aaron Copland, écrit en 1948 à l'intention de Benny Goodman, célèbre jazzman, mais aussi éminent interprète et ami de Bartók, Hindemith, Bernstein, Morton Gould, Stravinsky, etc.

La deuxième partie sera consacrée au célébrissime et brillantissime (!) concerto pour violon de Tchaïkovsky, composé en 1878 à Clarens-Montreux (sur la rive helvétique du lac Léman), lors d'un voyage du compositeur en compagnie du jeune violoniste Iosif Kotek qui supervisa l'élaboration de la redoutable partie soliste.

Alors, nous serions ravis de vous revoir à l'occasion de ces retrouvailles musicales !

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

ATTENTION AU CHANGEMENT D'HORAIRE :

SAMEDI  :  CONCERT  À  18H  (au lieu de 20h30).

Suite à l'intervention présidentielle, nous avons dû précipitamment avancer l'horaire de notre concert de samedi à 18 h. Celui de dimanche demeure inchangé (17h). cf. ci-joint la nouvelle affiche.

Nous espérons que cela ne vous empêchera pas de venir nous écouter en ces temps turbulents...

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Tout d'abord, permettez-moi d'exprimer au nom de tous les musiciens notre joie collective de pouvoir enfin donner un concert en public, après des mois d'absence due à la situation sanitaire que vous connaissez. Tout sera fait pour assurer une sécurité maximale du public, conformément aux directives préconisées par les autorités : gel à l'entrée de l'église, port du masque obligatoire, distance respectée.

Nos deux concerts auront lieu samedi 17 octobre à 20h30 et dimanche 18 à 17h, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e. L'affiche et le plan d'accès sont en pièces jointes.

Le programme débutera par une courte pièce de Scriabine, composée en 1898. Le jeune compositeur russe – alors âgé de 26 ans – nous fait déjà ressentir le chatoiement sonore et la sensualité rêveuse que l'on trouve si souvent dans sa musique.

Puis, ce sera le Konzertstück pour 4 cors et orchestre que Schumann écrira en 1849, et qui fut créé par les quatre cornistes de l'orchestre du Gewandhaus de Leipzig. Pièce originale et admirable, elle exige un quatuor de solistes de tout premier plan.

Enfin, la deuxième partie du concert comprendra le magnifique 3e concerto pour piano de Rachmaninov, composé en Russie en 1909, et créé par le compositeur lui-même à New York en novembre de la même année sous la direction Walter Damrosch, puis redonné peu de temps après sous la direction de Gustav Mahler. Il est considéré comme un des plus grands mais aussi des plus difficiles concertos pour piano.

Merci à nos brillants solistes d'avoir accepté ces deux défis redoutables et mis leur grand talent au service de ces œuvres merveilleuses !

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous revoir après cette longue interruption, et espérons votre présence pour soutenir l'activité artistique en général, et musicale en particulier.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce de nos deux prochains concerts, qui auront lieu les vendredi 29 et samedi 30 novembre à 20h30, en la Cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e.

Le programme comportera 3 miniatures du compositeur et ethnomusicologue arménien le Révérend Père Komitas, dont on célèbre les 150 ans de sa naissance. On lira avec grand intérêt la passionnante fiche Wikipedia qui lui est consacrée, évoquant ses succès et sa destinée tragique qui symbolise celle du peuple arménien. Nous donnerons ensuite le célèbre et superbe 4e concerto pour piano de Beethoven (avec en soliste le talentueux pianiste Alain Stepanian), puis du grand compositeur tchèque Bohuslav Martinu alors exilé aux États-Unis, la formidable (et quasiment jamais jouée en concert !) Sinfonietta « La Jolla », du nom de cette petite ville californienne (située au bord de la mer près de San Diego), dont la société musicale passa commande d'une œuvre symphonique à Martinu en 1950.

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous compter parmi le public.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

 
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,


 Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce de notre prochain programme qui sera donné deux fois, les vendredi 4 et samedi 5 octobre à 20h30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e.

 Si l'ouverture du dernier opéra de Mozart est un grand classique bien connu, les trois autres œuvres sont plutôt des raretés en concert. La cantate de Berlioz Cléopâtre (souvent appelée à tort La mort de Cléopâtre), datant de 1829, est le deuxième essai du jeune compositeur pour le concours du Prix de Rome (qu'il n'obtiendra que l'année suivante avec la cantate Sardanapale). L'unique concerto pour piano du jeune Scriabine alors âgé de 24 ans, par son lyrisme très russe et son romantisme débordant, préfigure ceux de Rachmaninov.

 Nos talentueux solistes Nathalie et Jimmy défendront brillamment, n'en doutons pas, ces deux belles pages injustement négligées.

 Quant aux courtes et charmantes Quatre Impressions norvégiennes de Stravinsky, elles ont été composées en 1942 à la demande du gouvernement norvégien pour accompagner un film de propagande anti-nazi. Après leur création aux Etats-Unis, l'œuvre a été donnée le 22 mars 1945 sous la direction du compositeur au théâtre des Champs-Elysées – là-même où, 32 ans auparavant, Le Sacre du printemps déclencha le fameux scandale –. Cette fois, c'est la jeune école française avant-gardiste qui siffla copieusement cette œuvre, jugée trop "néo-classique". Décidément, Stravinsky n'aura pas eu de chance avec cette salle ! Toujours est-il que depuis cette unique exécution parisienne, les Quatre Impressions norvégiennes n'ont jamais été rejouées en France. Nous allons donc faire en quelque sorte une "re-création", 74 ans après cette première française...

 Ces deux concerts de rentrée marqueront notre retour dans cette belle église restaurée après plus d'un an de travaux, et ce sera aussi l'occasion de fêter les 10 ans de notre ensemble orchestral, qui aura donné 55 programmes différents avec plus de 160 œuvres, dont beaucoup de raretés et quelques créations françaises importantes.

 Alors, si vous êtes libres et intéressé(e)s, nous serons très heureux de vous compter parmi le public.

 Bien cordialement,
 Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Notre dernier concert de la saison aura lieu le samedi 29 juin à 20 h 30, en l'Église protestante allemande à Paris, 25 rue Blanche, dans le 9e arrondissement (cf. ci-joint).

C'est lors d'un voyage en Italie (Taormina-Milan) que le compositeur allemand Paul Hindemith – dont nous venons de donner le concerto pour cor et orchestre lors de notre dernier concert – écrivit fin 1948 l'étonnant et splendide septuor à vent (le quintette à vent classique, plus une clarinette basse et une trompette).

La sérénade ("Gran Partita") pour 13 instruments (12 à vent, plus une contrebasse) de Mozart est une pièce merveilleuse et aux vastes proportions : 7 mouvements pour une durée totale d'environ 50 minutes ! Elle fut créée à Vienne en mars 1784.

Alors, si vous êtes libre ce soir-là et intéressé(e), nous serons ravis de vous compter parmi le public.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce des deux concerts que nous donnerons les vendredi 17 et samedi 18 mai à 20 h 30 en l'église Saint-Joseph-Artisan, 214 rue Lafayette, Paris 10e

Deux de nos plus talentueux musiciens interpréteront chacun à leur tour (Guillaume le vendredi, Irina le samedi) l'œuvre la plus célèbre du compositeur allemand Max Bruch : le romantique et virtuose concerto pour violon n° 1, composé en 1864-68 et dédié à Joseph Joachim.

Figurera également aux deux programmes la très belle sérénade pour instruments à vent, violoncelle et contrebasse de Dvorak (datant de 1878), toute imprégnée des saveurs musicales bohêmes et moraves.

Le vendredi, le programme débutera pour deux courtes pièces pour cordes du compositeur anglais William Walton - extraites de la musique composée pour le film de Laurence Olivier "Henry V" (1944) -,

tandis que le samedi, notre talentueux corniste Joël s'attaquera au rare, difficile mais merveilleux concerto pour cor que le compositeur allemand Paul Hindemith écrivit dans le Valais (Suisse) en 1949 à l'attention du célèbre corniste anglais Dennis Brain.

Alors, si l'un ou l'autre (voire les deux !) de ces programmes vous intéressent, nous serons ravis de vous compter parmi le public.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Tout d'abord, notre ensemble orchestral et moi-même vous souhaitons une excellente nouvelle année 2019 !

 

Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce de notre prochain concert, qui aura lieu le dimanche 3 février à 16 h en l'église Sainte-Marguerite, 36 rue Saint-Bernard, Paris 11e, avec en soliste Madame Marie-Christine Steinmetz, titulaire de l'orgue de cette église.

 

Le programme débutera par un des seize concertos pour orgue qu'Händel consacra à cet instrument, 

suivi par une suite pour orchestre à cordes que le compositeur anglais Parry dédia à Lady Radnor, aristocrate qui fonda et dirigea de 1881 à 1896 un orchestre à cordes exclusivement féminin.

Puis, ce sera une œuvre pour orgue seul de Léonce de Saint-Martin, qui fut organiste de Notre-Dame-de-Paris de 1937 (succédant à Louis Vierne) à sa mort en 1954 (il fut à son tour remplacé par Pierre Cochereau).

Enfin, le concert s'achèvera avec le célèbre et magnifique concerto pour orgue de Poulenc, achevé en 1938.

 

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous accueillir lors de ce concert.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce de nos prochains concerts qui auront lieu samedi 24 novembre à 20 h 30 et dimanche 25 à 16 h, en l'église Saint-Joseph-Artisan, 214 rue Lafayette, Paris 10e.

Le programme comprendra une œuvre rare du compositeur anglais Frederick Delius, "Automne (les murmures du vent dans les arbres)" inspirée de son Yorkshire natal, et une œuvre bien connue, le superbe 2e concerto pour piano de Brahms, qui sera interprété par le talentueux Jimmy Mullaert.

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous compter parmi le public.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce de notre prochain concert qui aura lieu samedi 6 octobre à 20 h 30, en l'église Saint-Joseph-Artisan, 214 rue Lafayette, Paris 10e.

Le programme sera consacré au compositeur irlandais Charles Villiers Stanford (Dublin 1852 - Londres 1924).

Quasiment inconnu en France, ce compositeur, qui est à l'origine du renouveau symphonique au Royaume-Uni et en Irlande, fut éclipsé par son illustre contemporain Edward Elgar. Stanford subit l'influence de Brahms et fut défendu à l'époque par Hans von Bülow, Hans Richter et Gustav Mahler. Professeur au Royal College of Music à Londres, il eut parmi ses élèves quelques-uns des principaux compositeurs britanniques du XXe siècle : Frank Bridge, Arthur Bliss, Herbert Howells, John Ireland, Gustav Holst, Ralph Vaughan Williams, George Dyson, Ernest John Moeran...

C'est donc à un programme tout à fait original que nous vous convions, avec le concerto pour clarinette (qui sera défendu par la jeune et brillantissime Christelle Pochet, qui vient d'intégrer l'Orchestre National de France) et la septième (et dernière) symphonie.

Si le concerto pour clarinette de Stanford n'a été joué qu'une fois en France (à Brest il y a 22 ans, par Philippe Cuper et l'orchestre de Bretagne, et jamais depuis !), la symphonie n° 7 sera donnée en toute première audition dans notre pays...

Alors, si vous souhaitez découvrir ces belles œuvres injustement négligées, nous serons ravis de votre présence à ce concert.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce des nos deux concerts qui auront lieu en l'église protestante allemande, 25 rue Blanche, Paris 9e :

- samedi 30 juin à 20 h 30
- dimanche 1er juillet à 17 h 30.

 
Le programme débutera par une petite curiosité : une transcription pour orchestre à cordes de deux courtes et charmantes pièces pour piano de Ravel : le Prélude de 1913, commande du conservatoire de Paris comme morceau de déchiffrage, et la Fugue du "Tombeau de Couperin", suite de six pièces dédiées chacune à un ami tombé au front durant la guerre.

Les talentueuses Stépanie Ollé et Delphine Haas interpréteront la célèbre et merveilleuse Symphonie concertante pour violon et alto de Mozart.

Enfin, ce sera la Sérénade du compositeur anglais (mais de mère française) Lennox Berkeley, qui étudia à Paris avec Nadia Boulanger (sur les conseils de Ravel) et connut Roussel, le groupe des Six... Cette œuvre néo-classique de 1939 est une des plus belles du répertoire britannique pour cordes. Elle n'est pourtant quasiment jamais jouée en France...

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de votre présence.
 
Bien cordialement,
Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l'annonce de notre prochain concert qui aura lieu le samedi 21 avril 2018 à 20 h 30, en l'Église Saint-Joseph-Artisan, située au 214 rue Lafayette, Paris 10e.

Le programme comportera deux œuvres russes :

une courte et charmante sérénade écrite à l'âge de 19 ans par Glazounov, peu de temps après la Première symphonie qui devait le rendre célèbre,

ainsi le concerto pour violon n° 2 de Chostakovitch, écrit en 1967 pour son ami le grand violoniste David Oïstrakh. Beaucoup moins joué que le concerto n° 1, cette œuvre poignante, tout à tour sombre et sarcastique, inaugure la dernière période du compositeur devenu gravement malade. Notre talentueuse violon-solo, Irina Chagay, s'est brillamment investie dans cette partition d'un grand lyrisme mais aussi techniquement redoutable !

En deuxième partie, ce sera "Eine Ballett-Suite" du compositeur allemand Max Reger, superbe partition en six mouvements, riche et finement orchestrée, scandaleusement absente des programmes de concerts, sauf une fois en 1973 pour le centenaire du compositeur, et par notre orchestre il y a trois ans...

Alors, si vous être libres et intéressés par ce programme singulier, nous serons ravis de vous compter parmi le public.

Bien cordialement,
Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

 
Vous voudrez bien trouver ci-joint l’annonce de nos deux prochains concerts qui auront lieu le samedi 10 et le mardi 13 février, en l’église protestante allemande à Paris, 25 rue Blanche, Paris 9e.

 Si le 4e concerto brandebourgeois de Bach - pour 2 flûtes, violon et orchestre à cordes - est un grand classique de l’époque baroque,

la sérénade pour 8 instruments à vent, violoncelle et contrebasse du compositeur danois Emil Hartmann (à ne pas confondre avec le compositeur allemand du XX e siècle Karl Amadeus Hartmann) est une œuvre tout à fait méconnue, pour ne pas dire quasiment inconnue !

Enfin, de nombreux bassonistes de haut niveau (dont notre ami virtuose Julien) ont souffert en travaillant ce redoutable concerto de Tomasi, commande du conservatoire de Paris en 1961 pour ses concours ! Nous sommes particulièrement heureux de présenter cette œuvre rarement jouée en concert, notamment dans sa version originale orchestrale.

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous compter parmi le public.

Bien cordialement,
Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l’annonce de nos prochains concerts qui auront lieu samedi 13 et mardi 16 janvier 2018 à 20 h 30, tous deux en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3^e.

Le programme reprendra une partie de celui que nous avons donné en mai dernier, à savoir les spectaculaires « Fanfares liturgiques » d’Henri Tomasi, pièce maîtresse du répertoire pour cuivres et percussion datant de 1947, et le superbe concerto pour piano n° 1 de Rachmaninov (toujours avec le brillant Jimmy Mullaert), composé en 1892 à l’âge de 18 ans, puis profondément remanié en 1917, soit bien après les célébrissimes 2e et 3e Concertos (1901, 1909) et avant le 4e concerto (1926) et la Rapsodie sur un thème de Paganini (1934).

Pour commencer, nous donnerons la rare ouverture « Helios » du compositeur danois Carl Nielsen, qui écrivit cette œuvre en 1903, où il avait rejoint son épouse qui travaillait alors à Athènes comme sculpteur.

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous compter parmi le public.

Et en attendant, nous vous souhaitons un très joyeux Noël et d’excellentes fêtes de fin d’année !

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

 Vous voudrez bien trouver ci-joint l’annonce de notre prochain concert qui aura lieu le samedi 18 novembre à 20 h 30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3^e.

Le programme débutera par le rare Concert pour petit orchestre d’Albert Roussel. Composé en 1927, juste après la 3^e symphonie et la Suite en fa, ce morceau est tout à fait caractéristique de son auteur, avec ses rythmes énergiques et ses harmonies raffinées. Puis ce sera le Konzertstück pour piano et orchestre de Weber, achevé en 1821 au moment de la création du Freischütz, pierre angulaire de l’opéra allemand. Cette belle œuvre concertante en quatre sections enchaînées (en ce sens, préfigurant la forme du poème symphonique) représente en quelque sorte un maillon entre les derniers concertos de Beethoven et les pièces romantiques de Chopin, Schumann et Liszt.

Enfin, nous donnerons deux œuvres pour violon et orchestre de Camille Saint-Saëns, écrites pour le grand violoniste espagnol Pablo de Sarasate : le 3^e concerto (le plus connu et le plus réussi), créé en 1880 par son dédicataire, et le célèbre Introduction et Rondo capriccioso de 1863, véritable morceau démonstratif et virtuose pour le soliste.

 Les deux solistes britanniques, habitués de nos concerts, défendront ces œuvres avec leur talent et l’enthousiasme qu’on leur connaît.

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous compter parmi l’auditoire.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l’annonce de notre premier concert de la saison. Il aura lieu le samedi 23 septembre à 20 h 30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3^e.

Nous débuterons par une œuvre rare, « L’Ermite au violon », un poème symphonique délicat et raffiné du compositeur allemand Max Reger, inspiré d’un tableau du peintre suisse Arnold Böcklin, devenu une grande figure du symbolisme allemand.

Ce tableau exposé à la Alte Nationalgalerie de Berlin représente un vieil homme seul jouant du violon sous le regard attentif et ému des anges.

https://www.photo.rmn.fr/CorexDoc/RMN/Media/TR1/0J0KEZ/08-514613.jpg

Puis, ce sera le 24^e concerto pour piano de Mozart, composé en mars 1786, œuvre magistrale et dramatique faisant partie de la série des grands concertos pour piano de la maturité du compositeur. Suscitant notamment l’admiration de Beethoven et de Brahms, il est considéré par certains musicologues comme étant le plus grand des concertos mozartiens.

Nous terminerons par le concerto pour violon du jeune Richard Strauss, alors âgé de 17 ans.  Sans rivaliser avec les grands poèmes symphoniques et opéras qui ont assuré la gloire du compositeur, cette belle œuvre juvénile et virtuose, injustement négligée, n’est pas sans rappeler Mendelssohn, mais elle révèle aussi « un talent peu ordinaire », dixit Eduard Hanslick, ami de Brahms et célèbre critique musical viennois influent et redouté.

Les deux solistes Alain Stepanian et Haïk Davtian apporteront leur brillant concours.

Alors, si cela vous dit d’assister à ce concert, nous serons ravis de vous compter parmi l’auditoire.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Le programme débutera par les impressionnantes « Fanfares liturgiques » pour ensemble de cuivres et percussions d’Henri Tomasi, grand compositeur marseillais d’origine corse.

Arrangées en 1947 à partir d’extraits de l’opéra « Don Juan de Mañara »  (1942-44), ces « Fanfares liturgiques » sont, avec le concerto pour trompette et orchestre, l’œuvre la plus célèbre et la plus jouée du compositeur.

Il y a quelques mois, votre serviteur a eu la grande joie de pouvoir acquérir le manuscrit autographe complet de ce chef d’œuvre singulier.

  Rachmaninov composa son premier concerto pour piano à 18 ans, lorsqu’il était encore étudiant. Insatisfait, il le remania profondément en 1917, juste avant de quitter définitivement sa Russie natale.

Sous sa forme définitive très réussie, ce « Concerto n° 1 » se situe en fait chronologiquement après les célébrissimes 2e et 3e concertos, et avant le mal-aimé 4e concerto et la splendide « Rapsodie sur un thème de Paganini ».

Les auditeurs de l’émission « Apostrophes » de Bernard Pivot reconnaîtront la merveilleuse phrase lyrique qui en illustrait musicalement le générique.

C’est le jeune et brillant pianiste Jimmy Mullaert qui sera le soliste de cette œuvre superbe, mais finalement relativement assez peu jouée en concert.
 
Enfin, en deuxième partie, ce sera « Jeu de cartes » de Stravinsky, créé en 1937 par l’American Ballet au Metropolitan Opera de New York, sur une chorégraphie de George Balanchine.

Assurément un des sommets de la période dite « néo-classique » du compositeur, cette partition étincelante pour l’orchestre illustre une partie de poker en 3 donnes.

Moins connu que la trilogie des premiers ballets (« L’Oiseau de feu », « Petrouchka » et « Le Sacre du printemps ») qui a assuré à Stravinsky sa notoriété, « Jeu de cartes » mériterait pourtant bien d’être plus souvent joué, à la scène comme au concert…
 
Alors, si vous êtes libres et intéressés par ce programme, nous serons ravis de vous compter parmi nos auditeurs !

Bien cordialement,
Eric Van Lauwe

Eglise  Saint Roch
vendredi 31 mars 2017
20h30

-

Vous voudrez bien trouver ci-joint l’annonce de notre prochain concert qui aura lieu le samedi 11 mars en la
cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3e.
Le programme comportera trois oeuvres rares, dont deux écrites par des compositeurs britanniques.
Le concert débutera par une courte et charmante pièce, A Song before Sunrise, de Frederick Delius,
compositeur à l’écriture musicale raffinée et unique, qui passa une grande partie de son existence en France, à Grez-sur-Loing.
Puis, ce sera le superbe et original concerto pour alto (que nous donnerons en première audition en France !) de Malcolm Arnold, compositeur prolixe de 9 symphonies, de nombreux concertos, de musique de chambre et de musique de films, dont celle du célèbre « Pont de la rivière Kwaï ».
La deuxième partie comportera le brillant 2e concerto pour piano de Tchaïkovsky, victime injuste du
célébrissime 1er concerto, et qui pourtant, ne démérite en rien. Sans doute, sa longueur inhabituelle (50
minutes, mais après tout, le 2e concerto pour piano de Brahms dure autant !) et la redoutable partie soliste
ont fait qu’il soit extrêmement rarement joué en concert.
Nos vaillants amis Rupert et Chris nous ferons encore une fois le plaisir de leur venue d’outre-Manche, et
ont relevé le défi d’être les solistes de ces oeuvres difficiles sortant des sentiers battus !
Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous voir à ce concert.
Cordialement,
Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l’annonce de notre prochain concert qui aura lieu :

 Samedi 21 mai à 20 h 30, en la Cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3^e.

En 1878, Brahms acheva son célèbre concerto pour violon, écrit à l’attention du grand violoniste Joseph Joachim. L’année suivante, Dvorak écrivit lui aussi son concerto pour violon pour Joachim, mais finalement, c’est le violoniste tchèque Frantisek Ondricek qui en assura la création en 1883. Moins célèbre et moins joué que son grand aîné, ce très beau et original concerto sera interprété par Cécile Lartigau, talentueuse violoniste de notre ensemble.

 Kurt Weill quitta l’Allemagne en 1933, et partit s’installer définitivement aux États-Unis en 1935, où il obtiendra un grand succès avec ses œuvres scéniques, notamment à Broadway.
Entre temps, l’auteur du célèbre « Opéra de quat’sous » vécut deux années à Paris et à Louveciennes, et c’est la Princesse de Polignac qui lui commanda cette 2^e  symphonie qui fut créée en octobre 1934 par l’orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam sous la direction de Bruno Walter, puis redonnée à New York deux mois plus tard. Dernière œuvre symphonique de Kurt Weill, cette splendide symphonie fut totalement négligée après sa création. Ce n’est qu’à partir des années 80 que commencera une trop lente et très timide réhabilitation. Nous sommes particulièrement heureux d’être parmi les rares orchestres à l’avoir programmée et la présenter lors de ce concert.

 Alors, si vous êtes libres et intéressés par ce programme, nous serons ravis de votre présence.

 Bien cordialement,

 Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Vous voudrez bien trouver ci-joint l’annonce de notre prochain concert qui aura lieu samedi 12 mars à 20 h 30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3^e.

Le court Scherzo en ré mineur est la première œuvre orchestrale connue de Rachmaninov, alors âgé de 14 ans !

Le Rhapsody-Concerto pour alto de Martinu est certainement l’un des plus beaux concertos écrits pour cet instrument. Le compositeur tchèque, vivant alors en exil aux Etats-Unis, nous livre ici une œuvre pleine de nostalgie de sa patrie natale.

Quasi inconnu en France – malgré une récente réhabilitation discographique –, Giuseppe Martucci fut à l’origine du renouveau symphonique en Italie. Délaissant l’opéra (cas unique dans son pays), il dirigea quand même la première de « Tristan et Isolde » de Wagner en Italie ! Professeur de Respighi, il avait la haute estime de Brahms et de Mahler (qui dirigea son 2^e concerto pour piano lors de son dernier concert à New York). Toscanini défendit également ses œuvres. La courte et délicieuse « Gavotta » est une des nombreuses pièces pour piano que Martucci orchestra par la suite.

Enfin, le 2^e concerto pour piano que Chostakovitch écrivit à l’attention de son fils Maxime, jeune pianiste alors âgé de 19 ans, est certainement une des œuvres les plus joyeuses du compositeur. La vivacité (pour ne pas dire la frénésie) des mouvements extrêmes n’est tempérée que par le lyrisme romantique et très prenant du mouvement central.

Ce concert se fera avec le concours de nos deux sympathiques et talentueux solistes britanniques, qui ont déjà joué avec nous précédemment.

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons ravis de vous accueillir à ce concert.

Bien cordialement,

Eric Van Lauwe

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

Tout d’abord, permettez-moi de vous souhaiter une nouvelle année 2016 pleine de santé, de bonheur et de joies musicales !

Vous trouverez ci-joint l’annonce de notre prochain concert qui aura lieu le samedi 30 janvier 2016 à 20 h 30, en la cathédrale Sainte-Croix des Arméniens catholiques, 13 rue du Perche, Paris 3^e.

La première partie du programme sera consacrée à deux compositeurs français :

- Henri Duparc qui n’a laissé quasiment que 17 merveilleuses mélodies qui suffisent à sa postérité (« L’Invitation au voyage », « La Vie antérieure », « Phidylé »…) ainsi que deux très courts poèmes symphoniques : « Lénore » et « Aux étoiles ».

- André Jolivet, compositeur majeur du XXe siècle, dont la production abondante comporte notamment une importante série de superbes concertos pour divers instruments, dont celui pour harpe écrit pour Lily Laskine en 1952.

La seconde partie sera consacrée à l’Américain Walter Piston (avec son « Divertimento » de 1946 plein d’énergie et de nostalgie) et à l’Allemand Richard Strauss qui écrivit à 83 ans (en 1947) ce séduisant « Duett-Concertino » pour clarinette et basson, hommage intemporel du compositeur à Mozart qu’il vénérait.

Trois jeunes solistes, motivés et talentueux, se sont lancés dans cette aventure difficile mais exaltante :
Clara Izambert, harpe
Ghislain Roffat, clarinette

Julien Abbes, basson.

Alors, si vous êtes libres et intéressés, nous serons très heureux de vous (re)voir à ce concert !

Très cordialement,

Eric Van Lauwe